Roulant sur de l’asphalte majestueux Dans un triptyque, Irmo Keizer et Nas-Raddine Touhami vous emmènent dans l'aventure. Armés du Trek Domane, ils partent à la recherche de l'aventure, sur de l'asphalte majestueux et du gravel magnifique.

Roulant sur de l’asphalte majestueux Dans un triptyque, Irmo Keizer et Nas-Raddine Touhami vous emmènent dans l'aventure. Armés du Trek Domane, ils partent à la recherche de l'aventure, sur de l'asphalte majestueux et du gravel magnifique.

Roulant sur de l’asphalte majestueux Dans un triptyque, Irmo Keizer et Nas-Raddine Touhami vous emmènent dans l'aventure. Armés du Trek Domane, ils partent à la recherche de l'aventure, sur de l'asphalte majestueux et du gravel magnifique.

118 kilomètres au compteur. C’est un nombre de kilomètres au-dessus de la moyenne pour moi, en tant que vététiste invétéré. Ce furent des kilomètres remplis de plaisir à vélo, avec une sensation ‘flowy’ surprenante. On est parti de Vaals en Pays-Bas, on a pédalé le long de la frontière de la ville d’Aix-la-Chapelle en direction du sud, à travers Monschau, pour ensuite se diriger vers le nord à travers la magnifique région boisée. Ce serait un voyage qui, à la fin, me donnerait plus envie de prendre le vélo de course. En route, avec les Trek Domane, à travers trois pays. Ce fut une redécouverte de l’amour pour la vitesse, lors d’une journée où ‘Code Orange’ a été annoncé.

✍️ Irmo Keizer & Nas-Raddine Touhami
? Irmo Keizer & Nas-Raddine Touhami
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Point de départ : Vaals, Selzerbeeklaan
Arrêts intermédiaires : Monschau, Waffle Time au Vennbahn

Hop-hop-hop

Après quelques centaines de mètres, les dernières maisons disparaissent de notre vue. Le paysage vallonné se déploie dans toute sa splendeur autour de nous. La nature environnante est d’un vert luxuriant, nourri par les nombreuses pluies précédentes, mélangé à la sécheresse du sud de la France, due à des semaines de sécheresse. Cela crée un décor magnifique à travers lequel on se déplace. Les champs, en attente de la récolte, sont flanqués de pentes boisées. Les routes que nous empruntons sont merveilleusement calmes. Petites, sinueuses, traversant le paysage. Un présage de la route conçue par Nas-Raddine.

Quelques instants plus tard, on franchit la frontière, des Pays-Bas vers l’Allemagne. En passant par le bord du Preuswald, on serpente jusqu’à la Steineknipp, avec les premiers mètres d’altitude piquants de la journée. Nos pneus crissent sur le sol, car l’asphalte est jonché de toutes sortes de petits débris de la forêt. Avec 4,5 bars dans des pneus de 30 mm, aucun problème et on continue notre route, en direction d’une autre frontière. Cette fois, on quitte l’Allemagne et on entre en Belgique. La station douanière est encore intacte et, quelques belles photos plus tard, on continue notre chemin. Ce qui suit est une succession délicieuse de kilomètres rapides, le long d’anciennes voies ferrées et à travers les forêts de l’Est de la Belgique. À gauche et à droite, les buissons de myrtilles sont en pleine floraison, donc chaque occasion de photo est utilisée pour un petit ravitaillement. L’asphalte ici dans l’Osthertogenwald ressemble presque à une route 4×4 asphaltée, avec de longues montées douces. Les sections qui suivent sur les plaines en direction de Monschau sont délicieusement rapides, avant de plonger dans la petite ville caractéristique.

Nourriture pour tes jambes

Après un ravitaillement indispensable à Monschau, il n’y a qu’une seule façon de quitter la petite ville. Grimper. On a choisi une montée raide, qui commence directement depuis le centre et continue à un rude 22% pour finir dans un quartier résidentiel en dehors de Monschau. Cela s’avère être un présage pour les prochaines ascensions. Courtes, mais raides et constamment en montant et descendant. Du véritable nourriture pour tes jambes, agréable lors d’une journée forte, atroce lors d’une journée avec des jambes faible.

Montées et descentes sans fin

On se retrouve à nouveau en Belgique, sur des routes qui semblent traverser les forêts en montant et descendant sans fin. On grimpe le Pannensterzkopf, qui avec ses 665 mètres est le sommet le plus élevé de ce parcours. La route droite offre une vue impressionnante sur la vallée par laquelle on est passé. S’ensuit une portion de route qui est merveilleusement flowy, à travers la forêt, avec de magnifiques virages et des descentes douces. Les vitesses augmentent. Parfois, on a l’impression d’être dans un grand huit. Et tout cela sans rencontrer une seule voiture. Quel plaisir. C’est une sensation que j’ai rarement eu la chance de vivre en vélo de course. Mais soyons honnêtes, c’est vraiment amusant. Les pneus un peu plus larges et le confort du vélo complètent le tout.

Alerte orange

Pendant que l’on roule sur le barrage de la Vesdre, on regarde à gauche. Des nuages sombres se rassemblent et roulent vers nous. Nas-Raddine insiste qu’il ne va pas pleuvoir, jusqu’à ce qu’il détourne son regard de l’autre côté. Il ne reste qu’une vingtaine de kilomètres à faire, donc on décide d’augmenter un peu la vitesse. Le vent semble avoir le même plan et des rafales sifflent à travers la forêt. On continue à toute vitesse, espérant encore un miracle, pendant que les nuages deviennent de plus en plus intimidants. En traversant un hameau, on décide de jouer la sécurité à la dernière ferme. En cherchant un abri, on erre autour de la ferme, où on trouve finalement à l’arrière une grange où on peut se réfugier. On profite du moment pour regarder le Tour sur le téléphone. Près de deux heures plus tard, on reprend la route, alors que le soleil crée un spectacle magique.

Buienradar beloofd niet veel goeds
Schuilplaats in de schuur

Joyaux cachés

Ce qui suit est une finale délicieuse en direction du point tripartite. Les routes encore chaudes évaporent l’eau de pluie. Une chaussée mouillée nous accueille, une vaporisation d’eau rafraîchit nos dos, pendant que le soleil fait rapidement remonter le thermomètre même après ce refroidissement conséquent. On continue en direction de Vaals et on surmonte les dernières montées. Des joyaux cachés, dans une lumière magnifique. Le paysage autour de nous semble maintenant presque enchanté. Un minuscule bout de forêt devient un lieu mystique, où deux ombres se déplacent à vélo. Un peu plus tard, on monte vers le point tripartite, où les touristes se pressent pour voir l’endroit où les trois frontières se rencontrent. Là, à cet endroit précis, on rencontre plus de gens que durant les 116 kilomètres précédents.

La finale

118 kilomètres, 1800 mètres de dénivelé et quelques voitures et cyclistes plus tard, on arrive à notre point de départ. Et pour être honnête, ce vététiste passionné a pleinement profité de la journée. De routes tranquilles sans circulation, ou excès de cyclistes. Sur des routes qui rappellent presque des sentiers flowy. Mais avec la vitesse pure du vélo de route. Ça donne envie de plus. Les pneus gravel sont déjà montés. 35mm, prêts pour la prochaine aventure avec le Trek Domane. Et après aujourd’hui, j’ai encore plus hâte.

Le vélo de route qui embellit toutes vos sorties

Le Domane est un vélo de route de performance qui offre le confort incroyable d’un vélo d’endurance sans compromettre les performances. Où que vous les emmeniez, que ce soit sur le bitume, sur du gravel compacté ou sur des pavés dignes du Paris-Roubaix, les vélos Domane sont fluides, rapides et ludiques.
Voir le Domane

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